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6 juillet 2011 3 06 /07 /juillet /2011 15:14

 

 

Et voilà, les vacances se terminent, après un périple de quelques 3 800 kilomètres entre Paris, Bruxelles, Marles, Wavre, de quoi vous rapporter quelques jolies photos.

 

Depuis quelques années, nous voulions allez visiter la basilique royale de Saint-Denis, où trônent les gisants des rois, ainsi que le coeur de Louis XVII.

 

Pour la petite histoire, à l'intérieur de la basilique sommeillent soixante-quinze gisants et tombeaux monumentaux.

 

 

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Louis XVI et Marie-Antoinette.

 

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Détails du visage de Louis XVI.

 

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J'ai trouvé le visage de Marie-Antoinette d'une réelle beauté.

 

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Catherine de Médicis.

 

 

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De magnifiques tombeaux, somptueusements décorés.

 

 

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La basilique possède une nef de style gothique.

 


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Cette urne renferme le coeur de Louis XVII.

 

 

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22 juillet 2010 4 22 /07 /juillet /2010 17:23

 

 

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11 juin 2010 5 11 /06 /juin /2010 19:29

 

 

Quelques photos de cette magnifique abbaye sistercienne. Le ciel était nuageux, il est même tombé quelques gouttes d'eau.


 

J'ai donc pris la décision de changer le ciel...

J'en profite pour dédier ces photos à mes hôtes Canadiens ainsi qu'à.......1.gif


 

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14 février 2010 7 14 /02 /février /2010 20:12
Qui n'a jamais rêvé de château, de légende, de princesse, etc...

Lors de nos vacances, nous sommes allés jusqu'au château de Trécesson situé dans le Morbihan, à proximité de la forêt de Brocéliande...

Plusieurs légendes sont liées à celui-ci, mais la plus célèbre est celle de la Dame Blanche....

Avant de vous présenter celle-ci, regardons les photographies de ce château.

Petite précision, cette demeure est encore habitée par la comtesse de Prunelé. Nous n'avons visité que les extérieurs.



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Maintenant, place à la légende :

La dame blanche de Trécesson
chateau
majuscule  

ela se passait aux environ de 1750, par une nuit d'automne, un braconnier était embusqué dans le parc du château et y guettait sa proie, quand il crut entendre un bruit lointain. Craignant d'être découvert, il cacha précipitamment son fusil et grimpa sur un arbre. A peine y était-il établi qu'il aperçut, à l'extrémité de la grande allée du parc, une voiture attelée de chevaux noirs et suivie de plusieurs domestiques qui portaient des torches allumées. L'équipage s'avançait lentement et presque sans bruit, aucune voix n'interrompait le silence de la nuit, qui n'était troublé que par le pas mesuré des chevaux et par le froissement des roues sur les branchages et les feuilles desséchées. Cet étrange cortège s'arrêta à quelques pas du braconnier, qui vit bientôt, à la lueur des torches, plusieurs hommes munis de bêches et de pioches, s'avancer de son côté et se mettre à creuser une fosse précisèment au pied de l'arbre sur lequel il se trouvait. Au même instant deux gentilshommes, dont le rang élevé s'annonçait par l'élégance et la recherche de leur costume, sortirent de la voiture et firent descendre avec violence une jeune femme richement parée. Elle portait une robe de soie blanche, sa tête était couronnée de fleurs, un bouquet ornait son sein, tout indiquait une jeune fiancée qu'on va conduire à l'autel, mais sa chevelure était en désordre et ses yeux pleins de larmes, ses joues pâles, ses gestes suppliants annonçaient assez qu'elle était en proie à l'épouvante. Traînée plutôt que soutenue par ses conducteurs, quelquefois elle se débarrassait de leurs bras, se précipitait à leurs pieds, embrassait leurs genoux,les appelait ses frères et ses amis, et les suppliait en sanglotant de ne pas lui arracher la vie. Ce fut en vain, ses persécuteurs demeurérent froids et inflexibles devant ses supplications désespérées, et loin de paraître ému, l'un deux la repoussa brutalement.
     Mes frères, mes amis, oh! je vous en supplie, ne me faites pas de mal. -Vos frères! non Madame, nous ne le sommes plus, vous avez cessé d'appartenir à la famille que vous déshonorez. -Au nom du ciel! ne me tuez pas. Faut-il donc mourir si jeune! Au moment d'atteindre au bonheur! Ah ! que la mort est affreuse. -Il faut pourtant vous y résigner, Madame, les pleurs sont inutiles, votre heure est venue, vous allez mourrir.
     La fosse était creusée, les cavaliers firent signe à leurs gens, qui s'emparèrent de la jeune dame. L'infortunée se débattit longtemps dans les bras de ses bourreaux, mais malgré ses efforts désespérés, malgré ses supplications et ses larmes, elle fut jetée dans la fosse qu'on recouvrit précipitamment de terre pour étouffer ses derniers gémissements, puis les deux seigneurs remontèrent dans la voiture, l'équipage s'éloigna au grand trot des chevaux, et quelque moment après, le parc de Trécesson avait repris son obscurité, son calme et son silence.
     Pendant cette scène affreuse, le braconnier, le coeur serré par l'effroi, avait à peine pu respirer. Lorsque la voiture eut disparu, lorsqu'il eut cessé d'entendre le pas rapide et cadencé des chevaux qui l'entraînaient, il se décida à descendre de son arbre, mais, plein de trouble et d'épouvante, il ne songea pas à écarter la terre qui étouffait la malheureuse femme qu'on venait d'assassiner sous ses yeux. ll courut en toute hâte chez lui, où il raconta, tout éperdu, à sa femme, le crime dont il avait été le témoin. Celle-ci fit de vifs reproches à son mari et l'accusa de lâcheté. L'entraînant ensuite, elle voulut aller dans le parc pour ouvrir la fosse, mais une réflexion terrible lui vint: si elle et son mari allaient être surpris auprès d'un cadavre à peine froid, ne leur imputerait-on pas le crime affreux qui venait d'être commis? Cette crainte l'arrêta, elle jugea qu'il n'y avait rien de mieux à faire que de se rendre auprès de M. de Trécesson et de lui raconter ce qui s'était pass&eacute. Le braconnier et sa femme, introduits chez leur seigneur, purent à peine, tant ils éprouvaient de crainte, lui faire le récit du crime qui venait d'être commis sur ses terres. Aussitôt que M. de Trécesson eut compris de quoi il s'agissait, il se hâta de faire appeler tous les gens de sa maison et de leur donner l'ordre le plus pressant de se rendre au lieu indiqué, où lui-même les suivit bientôt. Cependant ces démarches, ces préparatifs avaient emporté le temps. Le jour était prêt à paraître lorsqu'on put commencer à enlever la terre qui recouvrait la fosse. Tous les regards, dirigés sur le même point, annonçaient l'anxiété des acteurs de cette scène, l'espérance et la crainte, l'attendrissement et l'horreur se succédaient. Enfin, lorsque le visage de la jeune dame parut à découvert, celle-ci ouvrit doucement les yeux, poussa un long soupir et ses yeux se refermèrent pour toujours.
dame      M. de Trécesson fut profondèment affligé de cet événement. ll lui fit rendre les honneurs funèbres avec une pompe digne du rang qu'elle paraissait avoir occupé dans le monde. Par la suite, il fit de nombreuses démarches pour découvrir les assassins, mais toutes ces recherches furent inutiles, on ne put savoir ni le nom de cette jeune dame qui avait disparu d'une si étrange manière, ni la cause du sort cruel qu'on lui avait fait subir, et cet évènement extraordinaire et toujours resté enveloppé, d'impénétrables ténèbres. Cependant, le souvenir s'en est transmis jusqu'à nous par des signes certains, M. de Trécesson avait solennellement déposé dans la chapelle du château la robe nuptiale, le bouquet et la couronne de fleurs de la jeune et malheureuse fiancée qui restèrent sur l'autel, exposés à tous les regards, jusqu'à l'époque de la Révolution.



Voici le lien d'où est tirée cette légende :  http://farfadet.home.free.fr/ldame.htm


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22 août 2009 6 22 /08 /août /2009 16:13
Comme je vous l'écrivais dans la newletter, notre point de chute a été le charmant petit village de Josselin.

Avant de poursuivre, je voulais quand même préciser que sur une semaine passée en Bretagne, nous eu...6 jours de....pluie.




Donc pour en revenir à ce château, en voici un bref historique :

Dominant l'Oust depuis une esplanade rocheuse, les murailles du Château renferment assurément l'une des plus belles demeure familiale de Bretagne.

Les trois tours, côté canal de Nantes à Brest, témoignent de dix siècles d'une Histoire tumultueuse emplie du fracas de guerres et de passion.

Edifié au XIème siècle par Guéthennoc , Seigneur de Porhoët, le château fort est détruit et fortifié à partir de 1370 par Olivier de Clisson avec pas moins de neuf tours et un donjon.
Vers 1500, Jean II de Rohan ajoute un logis doté d'une incroyable façade caractéristique du style Renaissance et Gothique flamboyant.

En 1629, la forteresse voit disparaître son donjon et plusieurs tours sous les assauts des militaires envoyés par le Cardinal Richelieu. Délaissé pendant plusieurs siècles, le château de Josselin est aménagé vers 1860 grâce à d'importantes restaurations intérieures qui remodèlent harmonieusement l'ensemble.

Les jardins à la française sont également remaniés par le célèbre paysagiste Achille Duchêne.

Aujourd'hui, le château de Josselin est devenu une demeure familiale que ses propriétaires, Josselin et Antoinette de Rohan ont embellis avec passion, avec, par exemple, l'aménagement tout récent d'une roseraie.

L'accès au château vous permet de contempler la façade Renaissance en "dentelle de granit", de suivre la visite guidée avec l'accès à certaines pièces richement meublées du château encore habité, et de flâner dans les jardins à la française et de roses.

Partons découvrir cet édifice...


Comme le ciel n'était pas "tip top", j'ai changé celui-ci pour un plus...ténébreux.






Petite fontaine au pied de l'accès menant au château.


Chapelle.


J'imagine qu'à l'époque, l'eau devait remplacer ce petit espace de verdure.




Pont menant au parc du château.


Tour et puit faisant face à celui-ci.


Parc en contre bas du rempart.


Vu du château et du temps que nous avons eu.


Détails des sculptures et d'une gargouille.




Tour.


Depuis le pont, vu de l'aile droite du château et de l'espace vert situé dans le fossé.


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17 août 2009 1 17 /08 /août /2009 14:34
Lors de notre périple nous menant en terre Bretonne, nous nous sommes arrêtés visiter cette magnifique abbaye.

En voici un rapide résumé :

L'Abbaye de Fontevraud, miroir du temps.

Considérée comme l’une des plus grandes cités monastiques d’Europe, l’Abbaye Royale de Fontevraud frappe par sa dimension comme par la prodigieuse diversité de son architecture.


Les visiteurs viennent de loin pour découvrir les gisants des trois souverains Plantagenêt dont l’empreinte a marqué le Moyen Âge : Henri II, Richard Coeur de Lion, la célèbre Aliénor d’Aquitaine et Isabelle d'Angoulême sont exposés dans la grande église abbatiale.


Abbaye du XIIème au XIXème siècle, elle était à la veille de la Révolution, la plus puissante de France. Transformée en prison pour échapper à la destruction en 1804, elle fermera en 1963.


Devenue en 1975 Centre culturel de rencontre, l’Abbaye Royale de Fontevraud est un haut lieu d’histoire et de création qui accueille des concerts, des colloques, des expositions ainsi que des artistes en résidence, des classes et des ateliers du patrimoine. Monument d’Etat, l’Abbaye Royale de Fontevraud est désormais une entreprise culturelle et touristique gérée par une association reconnue d’utilité publique : le Centre Culturel de l’Ouest, au sein duquel coopèrent l'État et la Région des Pays de la Loire.


L’Abbaye Royale de Fontevraud est Site Ambassadeur pour le « Val de Loire Patrimoine Mondial » (UNESCO).











Les Gisants :








Abbatiale.



Les clichés ci-dessous, nous montrent les magnifiques sculptures ornant  différentes pièces de l'abbaye.




Sculptures à l'intérieur d'une arcade menant au chapitre.



Peinture murale dans le chapitre.



Cloître.



La prison centrale de Fontevraud, période sombre du monument

Au début du XIXème siècle, l’Abbaye évolue brutalement de son statut de lieu de clôture volontaire, vers celui de prison.
Cette transformation du site en bâtiment carcéral par Napoléon entraîne des adaptations architecturales. A l’enceinte s’ajoutent alors de nouveaux murs et cloisonnements qui adaptent le lieu à sa nouvelle fonction : une prison-manufacture, où l’on surveille 24 heures sur 24, où les prisonniers travaillent dans les divers ateliers (menuiserie, foulon, tissage…), l’ensemble constituant une véritable cité pouvant quasiment vivre en autarcie.
La création du Centre Culturel de l'Ouest succède à la Centrale fermée en 1963. De nombreux travaux de restauration s'en suivirent.
Pourtant, aujourd’hui encore en flânant ou en cherchant délibérément, on peut découvrir des pierres portant les cicatrices du passé.
Cherchez, observez… les pierres vont vous « parler »…







Sources textes : http://www.abbaye-fontevraud.com/v3/home/reperes.php

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26 février 2009 4 26 /02 /février /2009 20:06
Quelques jolis clichés d'architecture gentiment offert, que je prends plaisir à mettre en ligne.


Ancien Hôtel des Soubises.


Hôtel Sully.


Hôtel Sully




Ancien Hôtel des Soubises.
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Présentation

  • : Prises de vue.
  • : Une photographie, c'est un arrêt du coeur d'une fraction de seconde. Pierre Movila
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